oz — still taste the past

oscar "oz" sullivannaissance : 23 décembre 1980. belfast, irlande. × profession : officiellement promoteur immobilier. officieusement propriétaire du lux (nightclub), une façade pour dissimuler un réseau de prostitution et de trafic de drogue illégal. × statut civil : veuf, un trou dans le cœur. incapable d'aimer à nouveau. × finances : riche sans prétention. le luxe de pouvoir tout se permettre sans pour autant en jouer, l'avantage de pouvoir vivre sans compter. × orientation : hétérosexuel. × a carson depuis : janvier 2022. × groupe : club. ×

can you feel my heart ?

code par .nyx

TRIGGER WARNINGS — perte de proches, mort, violence physique et verbale, alcool, proxénétisme, sexe, sang, manipulation, domination, armes, drogues, acharnement, organisations illégales, soif de pouvoir.

into my mind —
[THE IRISH MAN] × l'irlande. de vastes étendues, des paysages qui peignent des horizons infinis. l'idéal du terrain de jeu sur lequel on trébuche, on s'écorche les genoux, on tombe sans jamais manquer d'envie de se relever. sur lequel on se brise à la fois la mâchoire et le coeur, victime des prémices de la vie, tabassé par les épreuves qu'elle impose. l'adrénaline des premières fois, des nouvelles découvertes. de cette première cigarette fumée qui fait cramer les poumons. de ce premier verre d'alcool qui déforme les rictus, calcine ces organes dont on ignorait l'existence jusqu'à lors. de ces premiers baisers échangés, volés, appréciés par des gamins assis sur les rebords de la cave hill, prétendant à une liberté infinie lorsque le clair de lune se veut être leur seule compagnie. sans doute la plus fidèle, celle dont on retombe amoureux chaque soirs depuis les premiers coups de blues, depuis les premières dilutions de spleen dans les veines. de ces premiers coups de rein, émancipateurs de tous chagrins, créateurs d'une addiction aussi séductrice que destructrice. l'irlande comme terrain de jeu. comme terrain de vie. sa maison, son chez lui. là où le cœur a pris racines et certainement là où il s'éteindra.
[BLOODLINE] × sullivan. la suprématie à son point culminant. une fierté salvatrice qui fait briller le palpitant et le pousse à battre à tout rompre. un pouvoir digne de ceux qui règnent sur des empires étincelants. patronyme aux reliures dorées, de grande renommée, amèrement respecté. trois syllabes qui envoûtent, à la fois enjôleuses et dévastatrices pour ceux qui, par malheur, se mettent en travers de leur chemin. nom de famille qui se dissout sur les muqueuses et rend les langues séductrices jusqu'à les démunir de leur venin. manipulateurs hors pairs, de père en fils. charismatiques, assoiffés de gloire et de pouvoir dans un perpétuel semblant de rédemption pour mieux pouvoir soumettre. pour mieux pouvoir dominer et détruire. deux fils, une fille. un prince devenu empereur, héritier de la couronne du paternel, aspirant à une puissance qu'il veut étaler sur le globe dans son entièreté. un bandit, assoiffé de gloire, aveuglé par son envie de pouvoir. l'acolyte de son frère aîné dont la folie, la violence et le vice sont probablement décuplés. une poupée de porcelaine, si fragile et si belle. l'image même du charme dans sa forme la plus séductrice. petite pourrie gâtée, petite capricieuse qui mène son monde à la baguette, consciente d'être garante de la protection de ses frères. future femme de puissance qui ignore encore tout de son potentiel. la gamine qui vit comme si rien ne pouvait l'atteindre, comme si rien ne pouvait jamais l'arrêter.
[WATCH ME BURN] × business. on serait capable de laisser sa vie dans les mains d'oz lorsqu'il nous offre un regard, en pensant naïvement que la finalité des choses ne tirerait que vers le positif. dans ce bleu azur étrangement rassurant, on se perd sans chercher une issue de secours. pourtant, il le faudrait. véritable requin des affaires, il n'a eu aucun mal à gravir les échelons pour s'élever jusqu'à atteindre des sommets étincelants. le charisme naturel et la diplomatie qui convainc facilement. l'arrogance lui offre un manque de retenu qui n'a aucun mal à séduire. il s'est forgé sa réputation en irlande, devenant l'un des plus grands promoteurs immobiliers du pays avant d'aller s'implanter à las vegas. tout avait été méticuleusement calculé. une couverture parfaitement lissée pour pour dissimuler un réseau de prostitution et de trafic de drogue illégal qui sont devenus un grand pourcentage de ses revenus. une grande partie de sa richesse. un double royaume, qu'on ne soupçonne pas forcément, ou sur laquelle on préfère fermer les yeux. les flics rachetés avec quelques vilains billets, la municipalité dans la poche. une double casquette pour mieux convaincre les gens de plonger sans jamais avoir à se méfier.
[TAKE ME TO CHURCH] × elle. une existence maudite pour amour déchu. la vie a fini par lui ôter la seule femme qui a été capable d'allumer un feu ardent dans sa poitrine. mais à trop vouloir jouer, on fini par se brûler. ils se croyaient maîtres du monde, intouchables. comme des êtres suprêmes. il était destiné à mourir entre ses bras. il se serait laissé mourir dans ses bras. mais le feu a fini par devenir brasier, emportant tout sur son passage. détruisant tout sur son passage. lorsqu'ils ont appris qu'ils ne pouvaient pas avoir d'enfant, que sa lignée était destinée à s'éteindre. puis lorsqu'elle est tombée malade, lorsqu'il est devenu spectateur de sa descente aux enfers. impuissant. jusqu'à l'extinction totale, l'inversion des rôles. lorsque sa mort a enveloppé une partie de son cœur d'un voile noir, d'une part d'ombre. ce cœur qui ne bat presque plus véritablement. ce cœur qui cherche du réconfort depuis. pompant dans les effluves de ces amours naissants aux détours de nuits d'ivresses. sans aucune once d'attache, sans aucun semblant de sentiments. par besoin de croire qu'il y a encore un soupçon de vie, quelque part au fond de lui.
[DANCING ON DANGEROUS] × carson. les portes grandes ouvertes sur de nouvelles opportunités, sur cette possibilité d'assouvir ce besoin d'augmenter son chiffre d'affaire, ses revenus. un nightclub ouvert pour mieux dissimuler le vice. le lux; lorsque la lune s'élève, faisant place à l'obscurité, la nuit allonge les ombres, laissant s'ouvrir le gouffre qui mène directement au cœur des enfers. là où les palpitants circulent et vibrent, battant à tout rompre au rythme des sonorités nocturnes. celles qui restent dans la tête, qui hantent, comme les cris des âmes condamnées à périr dans les flammes, jusqu'à leur extinction complète. la taverne du diable, là où les esprits se perdent, où les corps se surprennent à apprécier, bien trop fort, bien trop violemment, le goût séducteur de la luxure et de la démesure qui enveloppe les lieux. jusqu'à ce qu'ils ne puissent plus jamais s'en défaire. forcés à revenir se perdre dans ce paradis perdu, dans ce paradis déchu où les corps se balancent jusqu'à ce que le soleil se lève. et tant pis si la nuit emporte avec elle tous les souvenirs de la veille. comme dans un cercle vicieux, comme dans une boucle temporelle; la finalité des choses reste un aller sans retour au lux. le grand manoir prometteur qui règnera un jour sur le monde de la nuit. engloutissant dans l'ombre toute la concurrence et principalement le business qu'il cherche à faire sombrer pour de bon, le moonlite bunnyranch.

[TICS & MANIES] charmante habitude de porter des costumes trois pièces, vilaine manie de constamment replacer le col de sa chemise • on détecte facilement son agacement lorsque sa mâchoire se crispe et ses poings se serrent • on ne peut pas être sûr de l'avoir déjà vu sourire, un jour. les traits de son visage sont souvent durs, fermés • toujours en compagnie d'un bon verre de whisky et d'une cigarette • maniaque, chaque chose doit être ordonnée et rangée à sa place

[CARACTERE] impulsif ; loyal ; charismatique ; meneur ; possessif ; manipulateur ; franc ; solitaire ; téméraire ; protecteur ; méfiant ; rancunier ; lunatique ; impatient ; vulgaire ; sociable ; arrogant ; colérique ; pyromane.

timeline:

this is my story —

Oz Sullivan a écrit:: ce matin, je me réveille avec l'impression d'être mort.
pourtant ce matin, tu n'es pas près de moi.
ce matin, je me réveille sans retrouver la chaleur de tes bras.
sans pouvoir déposer le moindre baiser sur ta peau laiteuse
sans que mes mains ne puissent parcourir ton échine,
sans pouvoir laisser mes doigts apprécier le grain de ta peau,
vibrer à la découverte de sa douceur, en redevenir prisonnier à nouveau.
les draps sont froids, la chambre est plongée dans un silence inhabituel.
je suis arrivé à la conclusion que pour la toute première fois,
je ressens véritablement ce qu'est la peur.
je ressens véritablement ce que ça fait, de ne pas avoir le contrôle.
tout m'échappe, je crois que je ne répond plus de rien.
je l'ai longtemps imaginée, la peur, sans jamais la ressentir.
elle m'a toujours semblée factice, presque irréelle.
jusqu'à ce qu'elle me rejoigne dans la nuit et qu'elle me secoue,
ne manquant pas de me faire prendre conscience qu'elle avait toujours été là.
je crois que j'ai toujours refusé de l'admettre, jusqu'à aujourd'hui,
mais elle était bien là.
tapie dans l'ombre, silencieuse, discrète et sournoise.
elle avait été là, depuis le début.
depuis ce jour là, où je t'ai passé la bague au doigt.
ce jour où nos vœux ont été prononcés devant dieu.
ce dimanche où je t'ai juré de t'aimer jusqu'à ce que la mort nous sépare.
est-ce que ce matin là,
j'aurais pu croire qu'elle finirait par le faire véritablement ?
l'amour m'a aveuglé, désarmé de toute conscience,
désemparé de toute rationalité.
est-ce que j'aurais pu croire un instant
que la faucheuse passerait les portes de notre maison,
qu'elle finirait par poser ses mains sur tes épaules
pour te préparer au grand voyage ?
qu'elle n'éprouverait aucun scrupule à déchaîner tes souffrances,
aucune peine à te détruire ?
j'avais promis de te protéger, de prendre soin de toi.
mais aujourd'hui,
seule l'impression de n'avoir pas fait assez s'est emparée de moi.
je culpabilise, j'admets avoir échoué.
je suis hanté par l'idée que tu aies été punie à ma place.
j'aurais mieux aimé prendre la tienne,
pouvoir veiller sur toi de l'au-delà, s'il y en a un.
je m'excuse que tu aies eu à payer tous les pots cassés, les miens.
je m'excuse d'avoir osé croire à une utopie
alors qu'elle ne pouvait exister qu'avec toi.
je m'excuse de n'en avoir pris conscience qu'une fois que tu es partie.
la maison est vide, ton rire n'est pas là pour illuminer la pièce.
ton sourire n'est pas là pour me donner l'envie de vivre.
je sais que c'est chose impossible sans toi,
mon cœur n'a battu correctement qu'à partir du moment
où je l'ai laissé entre tes mains.
tu t'en est allée avec une partie de moi,
ce matin, je me sens seul, tu n'es pas près de moi.
mais mon cœur t'accompagne, lié à jamais au tiens.
et je sais qu'un jour ils se retrouveront pour battre à nouveau à l'unissons.

ft. cillian murphy (aucune originalité + surplus de flemme alors je reprend le passage sur la fiche de sim, enjoy oz — still taste the past 2502837706

)
julie, ju (si tu veux) ou monochromia, c'est comme tu veux. 21 ans au compteur dans un peu moins de cinq mois. pas grand chose à raconter ni à étaler parce que c'est genre la partie que je déteste rédiger dans mes fiches oz — still taste the past 1922710266

mais bon. j'essaie de faire un effort. je suis (très) ouverte à la discussion et au papotage à foison, très bon public et prête à vous éclater la face à coups de compliments (en vrai j'fais ça bien et c'est toujours sincère, j'trouve que c'est archi bon pour le moral des gens alors j'en abuse oz — still taste the past 2542849595

), toujours là pour écouter si vous ressentez l'envie de parler ou si vous avez besoin d'un conseil, j'essaie de me faire épaule solide en cas de besoin. oz — still taste the past 2352821328

squatteuse professionnelle de la cb et du flood, addict au drama et aux liens farfelus (c'est ce que je préfère et dans quoi je déborde toujouuuurs d'imagination). prête à faire des étincelles avec chacun d'entre vous s'il le faut et si vous voulez un peu de moi dans votre vie oz — still taste the past 1093688295

j'vous envoie des bisous, si consentis, au plaisir de vous recroiser asap et d'échanger avec vous. oz — still taste the past 3195166554

code par nutty

t'es hot hot hot. oz — still taste the past 3786774255

le ranch aussi va bientôt être hot hot hot oz — still taste the past 2993610459

(love you

)

@Oz Sullivan Je comprends mieux pourquoi tu veux brûler le ranch, tu veux sûrement récupérer le personnel et éliminer la concurrence oz — still taste the past 538652815

Well... personnage intéressant, welcome oz — still taste the past 2548906189

cette fiche elle va dépoter toutes les autres présentent ici
ça pue le contrôle
et un peu le gaz quand même ...
hâte de découvrir un autre pan de ton imaginaire
un probablement plus sombre que sim
aux nuances si mince qu'on aura le choix entre l'aimer
ou le détester

LOVE YOU
oz — still taste the past 3420504708